La Tour de la Cloche, et au fond la Tour du Tambour |
Je crois qu’il nous manque plus qu’internet, nous avons
l’eau chaude, le gaz, l’électricité (donc la clim, alléluia !).
Un homme est venu pour internet, il a fait des branchements
dans tous les sens, ça a marché ! Seulement 10 minutes… Du coup maintenant
on attend désespérément.
Notre immeuble |
On a rangé nos vêtements dans notre unique placard. On a
acheté un aspirateur (qu’on a failli confondre au magasin avec une machine pour
repasser les chemises, qui ressemble comme 2 gouttes d’eau à un aspirateur).
Après avoir bu uniquement l’eau du robinet pendant 4 jours,
on vient d’apprendre par les autres français que c’était vraiment très mauvais.
Les taxis font des détours pour nos trajets (on a la bonne
tête du touriste), mais grâce à notre sens de l’orientation et notre carte de
la ville on ne se fait pas pigeonner. Engueuler un chauffeur de taxi en
anglais, et voir qu’il ne comprend rien, c’est décourageant.
Les chinois adorent se racler le nez et la gorge très fort,
afin que tout le monde entende bien, et cracher dans la rue. Ils apprécient
également faire du bruit en aspirant leurs nouilles, le nez presque dans
l’assiette (faut dire qu’avec les baguettes c’est pas forcement évident).
On a prit le métro pour la première fois. Le ticket est à 2
yuans, soit 25 centimes d’euro (petites dédicaces aux parisiens et londoniens).
Rapide, pas cher, propre, parfait ! On a un arrêt en bas de chez nous.
On a retrouvé les autres montpelliérains. Tout le monde est
bien installé, on a mangé ensemble un soir. On les retrouve tous lundi pour le
début des cours.
On a
fait nos vrais premiers repas chinois à la maison ! Très bon ! Des
nouilles avec des petits légumes, le tout dans un grand wok, accompagnées de
raviolis : petites boules blanches fourrées à la viande (de quel animal?
Aucune idée).
On vient d’avoir deux jours de grand beau temps ! On
pensait voir du gris tout le temps, à cause des premiers jours, mais en fait
non il peut y avoir un ciel bleu dans une grande ville chinoise. Du coup, première fois qu’on voit de l’ombre
sous les arbres par exemple.
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